L’équipe

Le Bola est né pour jouer, sans ami ni ennemi. Il ne savait pas gagner et a commencé a haïr Le Haut, devenant l’ami de tous les autres. Il a rencontré la CBT, n’a fait plus que gagner. Il cherche à réapprendre à perdre pour ne pas devenir Le Haut, détesté de tous les autres.

« Ton Bola tombé, ton Bola chemise. »

Le Bola

Le Haut est à la Thizy ce que le Réal Madrid est au football moderne : il agace, il est odieux, on le déteste, mais il gagne quand même. Son plus grand adversaire : l’Ardécho, avec qui il ne partage aucune valeur. Le Haut n’a qu’un seul objectif : gagner.

« Regarde le lynx, mais ne cherche pas la balle. »

Le Haut

Présentation à venir!

« Citation à venir! »

Comme tous les habitants de sa merveilleuse contrée, l’Ardècho sait dompter les chèvres. Une compétence aussi utile pour manager une équipe de branques que pour s’adresser aux autres présidents de la Ligue Thizy.

« La défaite, le déshonneur, et la valise… »

Ardecho

Le BSB : un avenir grandiose, forgé dans l’inattendu

Ici, en Bresse, nous ne faisons rien à moitié. Notre ambition est claire : grimper les échelons, écrire l’histoire et prouver que nos racines peuvent nourrir les plus grandes victoires. Chaque match est une étape vers le sommet, et chaque saison un chapitre de notre légende en construction.

Nous avons cette singularité qui nous rend uniques : l’art de repérer des pépites qui finissent souvent sur le banc, le don de conclure des transferts dont on se souvient plus pour leur audace que leur efficacité, et une étrange habitude de voir nos talents s’envoler vers des championnats aux noms aussi exotiques que leurs terrains.

C’est là que nous puisons notre force. Chaque coup dur nous forge, chaque départ nous pousse à bâtir encore plus grand. Nous sommes un club qui rêve haut et fort, même si la route est semée d’embûches.

Parce que, ici, en Bresse, on ne lâche jamais rien. Un jour, nos ambitions deviendront réalité. Et ce jour-là, on se souviendra de nos débuts, de nos rêves un peu fous et de notre parcours imprévisible qui aura fait de nous bien plus qu’un simple club : une véritable légende.

« La Bresse : terroir de champions, tombeau de prétentieux »

BSB

Au milieu des bavardages incessants des autres présidents, il y a les Partizans, authentique cooperative de footballeurs depuis 2018.
Ici le ballon n’appartient à aucun actionnaire, il circule aventureusement entre les pieds carrés de chacun de ses sociétaires.
Certes les caisses y sont moins remplies que dans les différentes plaines de l’Ain ; la stratégie moins affûtée que dans les vestiaires du Bola ; l’arrivée à l’entraînement moins ponctuelle que dans la vallée de l’Arve; le verbe y est moins précis qu’à Feyzin, moins agressif que sur les rives de l’Ardèche et moins foisonnant que dans les travées des entrepôts Téfal (sur ce point l’Embotpoint est inspirant).
Mais l’essentiel est ailleurs. Il est dans le plaisir de jouer. Et dans cette perspective, face aux érudits de la palabre, des affaires et du jeu en profondeur, les Partizans recherchent plutôt la franche camaraderie de la Veyzinade pour dynamiter, furtivement, le championnat, ou le seul premier tour du mercato.

« Ni bons à rien, ni mauvais en tout, notre objectif c’est l’ventre mou ! »

Partizan

Célèbre club de Haute-Savoie dans la plus pollué et la plus ouvrière des vallées de la région, le Cluses Scionzier FC représente l’âme de son territoire et du football patriarcal.

Notre Club fondée en 2018 sent la sueur, l’huile brûlée et les cadences infernales.

Aucun joueur de Paris ni de Lyon, nous gardons notre indépendance.

Il n’y a jamais eu de triche au CSFC, juste une volonté de gagner.

Nous jouons le haut de tableau et sans jamais être premier,
Cluses ne fait pas de cadeaux, avec nous il vous faudra composer.

« Il vaut mieux avoir des taupes dans son jardin que Cluses comme voisin. »

Cluses Scionzier FC

Né au coeur du monde ouvrier, le Lokomotiv Feyzin est le club populaire par excellence. Populaire de par ses origines. Populaire par l’engouement qu’il suscite chaque saison aux quatre coins du monde. Cette popularité est d’abord lié au charisme de son président qui cumule à lui seul plus de repas et de verres en tête à tête avec les autres président de la ligue que le nombre de fois où ces mêmes présidents ne se sont réellement croisés. Preuve de cette populaire, il ne passe pas une semaine sans que le Loko ne soit sollicité pour constituer une joint venture, une fusion, un rachat acquisition. Fidèle à ses origines, fidèle à son destin, le Loko est d’abord un acteur du social et de l’émancipation et conserve sa loyauté à l’égard des clus du territoire en souffrance de la Bresse.
Mais sa popularité, ici comme ailleurs, repose avant tout sur le fait qu’il est le membre unique et exclusif du Club Prestige Thizy ©, ayant été à ce jour le seul club à avoir participé à l’intégralité des saison tout en ayant fini premier et dernier de la ligue.
A jamais le pionnier, à jamais le premier

« Un Feyzin vaut mieux que deux Ginola »

Lokomotiv Feyzin

Le plein air, l’apéro, les bons copains, voilà les valeurs d’une équipe unis par une même passion pour le ballon rond. Si, au fil des saisons, nous avons su cultiver l’esprit d’équipe et la bonne humeur, il faut bien avouer que les résultats sur le terrain laissent à désirer. L’arrivée d’un nouvel entraîneur féru de nouvelles technologies mais manifestement dépourvu de toute compétence tactique n’a fait qu’accentuer notre désorganisation et notre inefficacité.
Pourtant, dans un élan de renouveau, une mise à jour de notre système tactique et technologique est en cours pour la prochaine saison. Mais à dire vrai, l’espoir demeure mince, comme une dernière lueur au crépuscule d’un match qui ne semble jamais vouloir se terminer.

« J’sais pas où la mettre vindieu! »

Embotpoint 2.0

L’AS TEFLON : Du rouleau de Teflon aux sommets du football

Les prémices d’une légende

Tout commence dans les années 50, au cœur de l’usine TEFLON & Cie, fondée par Raymond. Son fils, Joseph, encore un adolescent, arpente les allées de l’usine, saluant chaque ouvrier comme son père lui a appris. C’est dans ce contexte industriel que naît sa passion pour le football. Il passe des heures à jouer avec ses amis, utilisant parfois les rouleaux de Teflon comme ballons improvisés.

De l’association sportive au club professionnel .

En 1958, fort de cette passion, Joseph convainc le comité d’entreprise de créer une association sportive pour les employés. Cette initiative marque le début de l’aventure de l’AS TEFLON. Quelques années plus tard, en 1960, l’association devient un véritable club de football, l’AS TEFLON, avec pour particularité que les joueurs sont principalement les ouvriers de l’usine.

Une ascension fulgurante

Les premières années sont marquées par une progression rapide du club. Composée essentiellement d’ouvriers passionnés, l’équipe crée la surprise en 1963 en remportant le championnat départemental, infligeant une lourde défaite au Cluses FC (8-0 en finale). Ce succès inattendu propulse le club sur le devant de la scène régionale.

L’essor du Teflon et la construction du stade

Le succès économique de l’entreprise TEFLON & Cie, liée à la commercialisation du Teflon inventé par Raymond, permet à l’AS TEFLON de bénéficier d’investissements importants. En 1975, un projet ambitieux voit le jour : la construction d’un nouveau stade. Pour ce faire, Joseph décide de raser une partie des forêts des Bauges afin de construire un stade en bois, un choix audacieux et écologique pour l’époque. Ce stade atypique devient rapidement un emblème du club.

L’inspiration de Bernard Tapie et l’ère des grands noms

Les années 80 marquent un tournant dans l’histoire du club. Inspiré par le modèle de gestion de Bernard Tapie à l’OM, Joseph décide d’investir massivement dans le recrutement de grands joueurs. L’AS TEFLON devient alors une référence du football français, attirant des légendes comme Cantona, Boli ou Platini.

Une nouvelle ère

En 1985, l’entreprise TEFLON & Cie entre en bourse, consolidant ainsi sa position de leader mondial dans la production de Teflon. Fort de cet essor, Joseph décide de construire un nouveau stade, d’une capacité de 40 000 places, toujours attenant à l’usine. Ce stade devient une source de fierté pour les ouvriers qui continuent d’y accéder gratuitement.

Les défis du XXIème siècle

Malgré les succès passés, l’AS TEFLON doit faire face à de nouveaux défis. Les inquiétudes concernant les effets sanitaires du Teflon poussent l’entreprise à se diversifier et à investir dans de nouveaux marchés asiatiques. En 2007, Joseph décide de changer de logo pour donner une image plus moderne au club.
C’est le temps des paillettes et les stars se bousculent pour venir jouer au club: Balloteli, Mbappé ou le Grand NEY qui a une statue à l’entrée du stade. Mais les résultats sont très irréguliers et le club perd au fil des saisons son aura sur la scène nationale et notamment au sein de la Super League Thizy.

Un nouveau souffle

En 2024, Max, le fils de Joseph, prend les rênes du club. Il met en place une nouvelle stratégie, axée sur la formation des jeunes talents et sur un recrutement ciblé. L’objectif est clair : retrouver les sommets de la Super League Thizy. Le club mise notamment sur des jeunes pépites comme Stassin, considéré comme le futur Eden Hazard.

Un héritage inestimable

L’histoire de l’AS TEFLON est celle d’un rêve devenu réalité, d’une passion partagée et d’une réussite collective. De l’adolescent qui rêvait de jouer au football avec ses amis aux rouleaux de Teflon au dirigeant d’un empire industriel, Joseph a marqué de son empreinte l’histoire du club. Aujourd’hui, l’AS TEFLON est bien plus qu’une simple équipe de football, c’est un symbole de réussite, de passion et de solidarité

AS TEFLON: « L’esprit d’usine, le cœur d’un champion. »

Teflon